Bureau de Mustang

-Oui j'ai mal !

*Ce Envy va me le payer !!*

-Alors reposez-vous ! Il faut que votre blessure se cicatrise, sinon, vous ne pourrez rien faire.
J'allai m'asseoir a mon bureau et essayai de savoir ce que nous ferions quand le colonel et Nazumi seraient guéris. Impossible de trouver une idée. Je devais pourtant en trouver une... mais laquelle ?

Nazumi se rallongea et regarda le plafond.

*Je le croise je le tue !*

Ces quelques heures de sommeil m'avaient fait du bien. Quand je me réveilla, je vis que Riza était assise à son bureau et que Nazumi venait de se recoucher.

J'entendis le colonel se réveiller, je me mis au garde a vous.
-Colonel. Bien dormi ? Je souris.

-Bien, merci. Nazumi va bien ?

-Elle fait semblant de se sentir bien. Elle est souriante, mais au fond d'elle c'est pas ça. Je tourna ma tête en direction de Nazumi, allongée sur le canapé, les yeux fermés.

Je me doutais que Nazumi n'allait pas mieux.
-Il va falloir qu'elle continue à se reposer si elle veut guérir.
Je me leva et regarda Nazumi. Je me tourna vers Riza.
-Qu'allons-nous faire maintenant ?

Un soldat arriva en courant dans le bureau de Mustang, écrasant brutalement la porte contre le mur dans un bruit de crissement qui se diffusa dans toute la pièce. Le jeune homme haletait devant les yeux ébahis de Mustang et Riza.

- Nightmare ... Hôpital ... Chambre numéro 32 ...

Il soufflait comme une forge, et expliqua en quelques mots difficilement prononcés qu'il avait été prévenu par un infirmier de l'hôpital.

Je regarda Riza.
-J'y vais, occupez vous de Nazumi !
J'alla dans le tiroir de mon bureau pris une paire de gants et parti pour l'hôpital.

-->Chambre numéro 32

-Colonel, vous ne devriez pas....... La porte claqua derrière un colonel précipité. Nazumi se reposait encore, elle n'avait rien entendu. Je regardai le soldat.
-Occupez-vous d'elle ! ordonnai-je au soldat en pointant Nazumi du doigt. Je pris un pistolet posé sur mon bureau puis me dirigea vers la porte pour rejoindre le colonel.

=> Hôpital - Chambre numéro 32

Je suis arrivé dans mon bureau. Je dis au soldat qui était là:
- Vous pouvez disposer.
Il hocha la tête, me salua et parti.

J'arrivais dans le bureau quelques minutes plus tard. Le colonel venait de s'asseoir a son bureau. Je dis alors:
-On cherche tout de suite au sujet de Nightmare ?

- Oui, commençons.
Je ne savais pas par où commençais à chercher.

Je m'assis a mon bureau et commença a chercher dans les dossiers si le nom de Nightmare apparaissait quelque part.

Effectivement, un fin dossier porté le nom de "Nightmare", avec marqué en bas, en rouge et encadré: "Confidentiel." Le dossier n'était composé que de quelques feuilles, et la jointure en carton plastifié annelés ne le rendait pas vraiment plus volumineux. D'étranges inscriptions illisibles étaient écrit ... Quelque chose d'assez singulier pour un dossier appartenant à l'Armée.

J'interpelai alors le colonel:
-Colonel, venez voir ! Je lui tendis alors le fin dossier "Nightmare". C'est surement une piste, même si le dossier est petit. On ne devrait pas passer a coté de quelque chose.

Je pris le dossier des mains du Lieutnant
-Vous avez raison
Je parti lire le dossier à mon bureau.

Le dossier comportait deux feuilles ... Pas vraiment remplies. La première constituait ses crimes, plus généralement meurtres, destructions massives ... Et pourtant, personne n'en entendait jamais parler ... C'était louche. Quand à la seconde ... Une phrase. Une seule.

"Vous référez au Fuhrër."

La première page n'avait pas grand intérêt mais quand je vis la seconde page, je la tendis au Lieutenant.
- Regardez.

Je pris le dossier dans les mains avant de commencé à regarder plus attentivement.
- Colonel, pourquoi le dossier de Nightmare est-il aussi fin ? Je pensais que c'était un criminel important. Et le pire, c'est qu'on en entend pas tellement parler ...

Le lieutenant avait raison.
- Regardez la deuxième page.

Je tourna la première page, puis lis ce qui était écrit sur la deuxième. je lis tout haut:
-"Vous referez au Fuhrër." Qu'est ce que ca veut dire ? Quel est le rapport ?

- Je n'en sais rien. Le seul moyen d'en savoir plus c'est d'aller voir le Fuhrër.

Je regarda le colonel les yeux écarquillés:
-Vous êtes sur ? Je pensais que cette affaire ne concernait que nous, apparemment pas...

» Roy Mustang ( général )
» Image de Roy Mustang